Sous la lune à la  » Ruche à Gîter »

Cette année direction la Chartreuse pour profiter de la neige et de la pleine lune. Le foyer de ski de fond  de La Ruchère, la Ruche à Gîter, offrant des possibilités d’hébergement intéressantes nous étions quatorze à avoir choisi de passer la nuit sur place.

Pour ceux arrivés de bonne heure, la fin d’après midi fut animée par un couple sympa qui nous offrit un récital démarrant doucement. Puis l’ambiance s’échauffant, Robert et Pascal furent invités par la chanteuse à la rejoindre, ce que nos duettiste firent avec le talent qu’on leur connait. Ils furent suivis par Raymonde à l’aise lorsqu’il faut pousser la chansonnette.

Constanza et Bruno nous ayant rejoint vers 20h, notre hôtesse put nous servir le repas dont le plat principal était une copieuse potée, cela changeant des traditionnels menus au fromage de nos montagnes.

Après ce moment convivial nous avons profité du magnifique éclairage proposée par la lune et des pistes de ski de fond tracées  récemment pour le bonheur de nos trois skieurs nocturnes.

Retour au gîte vers minuit, minuit et demi.  Repos dans de petites chambres de 3 à 5 personnes. Comme d’habitude en refuge la nuit est plus ou moins  réparatrice et le petit déjeuner est bien venu pour remettre tout le monde en forme, prêt à s’élancer sur les pistes et chemin autour du gîte.

Nicole et Eric ont opté pour la piste noire menant au belvédère d’Arpison, belle montée sévère et descente rapide dans la forêt pour bon skieur de fond.

Raymonde, Caroline, Marie lou, Fidèle et Robert se sont dirigés à pied vers Pré Gervet et Tracol, mais sans raquette la neige devenant profonde avant Tracol les obligea à revenir sur leurs pas après malgré tout une bonne randonnée.

Le reste de la troupe, sept skieurs et un raquetteur prirent la direction du Petit Som. La montée vers le col de Léchaud est toujours bien raide avec une neige changeante suivant les endroits traversés. Bien profonde sous le col ensuite la crête menant au sommet est balayée par un vent très violent qui a tout soufflé et dégarni les pentes.

La descente a été bien négociée par tout le monde, Laurent et son copain… Laurent, en manque de dénivelé sont remontés  pour le plaisir d’une seconde descente.

Nous nous sommes tous retrouvés au gîte autour d’une bière bien venue et comme rien ne pressait et que les cuisinières avaient prévu large dans la préparation de leur tartiflette, nous en avons profité pour leur donner un « coup de main » réparateur pour tout le monde.

L’option du vendredi soir se prolongeant le samedi semble avoir plu à beaucoup, à refaire l’année prochaine sur le même modèle ?

 

 

 

 

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